« Au reste, le domaine de la poésie est illimité. Sous le monde réel, il existe un monde idéal, qui se montre resplendissant à l’œil de ceux que des méditations graves ont accoutumés à voir dans les choses plus que les choses. »

Victor Hugo (1802-1885), préface des Odes (1822).

Un nombre d’or, une ombre sonore…  un monde dont le poète n’en est que l’humble traducteur.

Je pense ainsi que chacun d’entre nous est porteur de ce monde idéal, invisible, perceptible par la poésie.

« Un Brin de Poésie » n’est ainsi que le miroir sensible de votre monde.